pensée
une branche de fleurs de pensées
- Période
- 1456-1487
- Personnage
- Marie de Clèves
- Famille
- Clèves
- Devises associées
- chantepleure
- Mots associés
- PLUS RIEN NE MEST
- Lettres associées
- LM
Ce végétal s'ajoute à la panoplie d'emblèmes utilisés par Marie de Clèves à partir de 1456 : la chantepleure dégouttante, le chiffre LM, le mot RIEN NE MEST PLUS. documentée par le décor d'un manuscrit du Filostrato de Boccace[1], appartenant à Marie de Clèves et daté de 1456. Un paiement du 1er juin 1455 mentionne « deux jartières d’or » émaillées à larmes et à pensées[2], un inventaire, dressé le 4 février 1456, mentionne lui aussi des pensées et des larmes sur trois colliers[3].
Cette fleur parlante évoque les pensées, les sentiments et complète la thématique de ses autres emblèmes évoquant le dépouillement spirituel.
Notes
- ↑ Paris, BnF, ms. Fr. 25528
- ↑ Laborde Léon de, Les ducs de Bourgogne : études sur les lettres, les arts et l’industrie pendant le XVe siècle, et plus particulièrement dans les Pays-Bas et le duché de Bourgogne, t. 3, Paris, Plon, 1852, p. 362-363, num. 6727.
- ↑ Laborde L. de, Les ducs de Bourgogne…, p. 377-379, num. 6945-6947, 6949, 6954
![La fleur d'ancolie associée aux devises de Marie de Clèves, Recueil des poésies de Charles d’Orléans (Carpentras, BM, ms. 0375, 1457)
[1] .](https://devise.saprat.fr/media/cache/thumbs/uploads/images/main-pictures/467-f9Q9lPdVOC.png "La fleur d'ancolie associée aux devises de Marie de Clèves, Recueil des poésies de Charles d’Orléans (Carpentras, BM, ms. 0375, 1457)
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